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Le Théâtre de la dérision

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« Le Théâtre de la dérision » nous vient de la Grèce antique. Bien que le personnage du Mime en occident, communique par ces pantomimes, nous découvrons davantage à travers un langage corporel : le clown et d’autres acteurs connus à l’image de Louis de Funès, Jean-Gaspard Deburau (créateur de Pierrot), et bien encore, en Marcel Marceau.

Dans cette quête de perfection, nous passons par une sorte de référence archétypale qui se concentre sur des symboles et leurs significations.

La difficulté à ne pas exprimer nos vraies émotions, créé en chacun, le sentiment de ne pas exister. Ceci nous rappelle à nous-mêmes, dans une sensation de regrets, à ne pas avoir pu… De façon négative « Pour ne pas avoir pris le temps pour soi, et pour l’autre », ainsi se déroule notre existence, en un amalgame de sentiments retenus, qui appelle au secours de la vie. Les comportements fermés aux autres, rendus prisonniers par les règles sociales, le manque d’humour et d’amour, faute de ne plus trouver le temps, ont peu à peu, effacer nos rêves d’enfants.

Ces scènes d’activités originales et tragicomiques nous offrent l’opportunité d’un partage créatif, en une authentique aventure de l’esprit et des sens. Les prises de conscience de nos réactions libres nous emportent à travers le jeu, l’humour et l’amour.

L’homme inaugure l’ambition, à devoir représenter de lui, une image parfaite en passant par l’art chimérique, qui connaît le don de destituer tout narcissisme pour être porté vers une forme artistique, qui se sert de l'humour pour dénoncer les délits de notre société à travers laquelle nous évoluons.

D’un coup de baguette magique, notre nature face aux autres, fait appel à une sorte d’examen de conscience, à devoir exposer les bons usages en ce savoir-vivre, définis par quelques masques que l’ego s’approprie par défi, pour se donner bonne conscience.

Ces identifications imaginaires et représentatives sur ces personnages, sont issues de nos visions erronées prisonnières du quotidien.

Tout s’entremêle en nos histoires intimes, au risque de sombrer dans l’absurdité de l’existence.

Ces récits, parfois publicitaires sont mis en scène ici, aux fins de guérir et de réparer ces figures d'ironie sur le sort, quant à soi-même. Les archétypes représentatifs par le côté psychorigide ou, démesurément à l’opposé philanthropique, désamorceront nos histoires intimes, quant aux tendances dramaturges.

Une dérision créative, dans un registre comique ou satirique pourra briser l’imagination négative d’un ego qui progresse dans une vision erronée de l’existence. Le sujet de ces tragédies humaines s’appuie sur nos coutumes sociales. Ces moments scéniques et spontanés, sont là, déviés afin de dévoiler nos mémoires référentielles.

Les nouvelles dérives de la perfection, nous conduisent, face à autrui et par défi, à toute sorte de fantasmagorie. En immortalisant l’influence de ces images, nous percevons un système de pensées qui nous éloigne de notre nature profonde. Poussé par ses démesures, l’humain oublie le sens de son existence. Nos attitudes humaines ont été rigidifiées par les rythmes de l’existence. La dérision existe afin d’ouvrir cette prise de conscience.

​Ces ateliers ludiques déroutent le mental et ses sources de références, elles permettent de dédramatiser le pouvoir d’un Surmoi dogmatique qui détourne souvent notre approche aux autres. De manière féconde ce champ de recherche expérimental ouvre l’authenticité de notre esprit vers l’aventure onirique. La découverte de sa propre créativité artistique aide à mettre en œuvre notre nature spontanée.

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