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L' Art de la Transformation




un caméleon vert sur une branche

L’homme ne peut vivre isolé de ses semblables. Ignorant ou non, et en respect à nos différences culturelles, l’influence de nos concepts quant à nos choix, évoque le besoin de reconnaissance, et de communication qui nous pousse à évoluer en société.

La participation à ces échanges, en son propre environnement, est validée par des valeurs collectives à partager. A cet effet, les règles de vie, l’éducation civique conduit l’homme, à s’adapter, à s’ouvrir à autrui, à jouer un rôle social afin de servir la collectivité par ses compétences, qui collaboreront à la prospérité d’un monde conçu, pour soutenir l’évolution humaine.

« Aujourd’hui, on ne respecte plus le rythme des enfants. Les hommes et les femmes meurent sans chercher à donner sens à leur existence et à ce passage d’un état de l’être, à un autre », selon Jean Cuisenier, chercheur au CNRS.    

Au siècle dernier, encore inconscient des conséquences socio-économiques, la culture scolaire et pédagogique, nous a conventionnellement rendu solidaire, pour remettre notre responsabilité, et notre pouvoir individuel. Laquelle a piégé subjectivement notre autonomie, quelques années plus tard. En retour, le système de nos sociétés devenues plus mercantiles, exploite nos ambitions et notre ignorance. La culture humaine de ces sociétés ambitieuses, a changé les règles et les protocoles, en bousculant sans respect, ni considération, les rythmes de notre existence individuelle. La surproduction et l’exploitation de tous les marchés, sont à l’ordre du jour, quant à ces firmes, elles continuent de mobiliser notre institution. Cette crise mondiale, n’est pas simplement politique, économique et financière, mais la conséquence d’une rupture d’un ordre généralisé.

Souvent en violation à notre vie privée, cette participation impliquante a généré l’élitisme, en dévalorisant insidieusement, l’image de l’Estime de Soi.

Pour chacun de nous, l’implication à toute forme de rassemblement, (politique, philosophique, religieux, familial ou amical), insuffle une position de responsabilité. Ces prérogatives individuelles, collectives et référentielles, nous réconcilient à ces principes de base, en toute légitimité. En échange, toute collectivité assiste l’homme dans son évolution, à structurer et affirmer, la personnalité d’une société, réfléchissant la transparence des ambitions humaines. A l’échelle mondiale nous constatons aujourd’hui, que le dérèglement climatique précède des conséquences irréversibles. L’effondrement de notre civilisation, est dû en particulier, à la consommation excessive des ressources naturelles, générée en qualité de responsable, par nos sociétés. Aussi, la fin de l’ère industrielle est annoncée.

Le système de production avec ses complots et ses conspirations qui figure la chute économique de nos sociétés, ne sont pas remis en cause par les gouvernements… De nouvelles technologies en perspective d’exploitation, menacent autant ce processus de catastrophe, de nature systémique. De même, la régression des glaciers, entraînera des pénuries d'eau dans le monde, aggravée par la pollution et les millions d’hectares de forêts surexploités et détruites…

Dans l’inertie général, l’irresponsabilité de nos sociétés se poursuit, sans réaction au système capitaliste et financier.

Quelle crédibilité aujourd’hui, pouvons-nous accorder, à ces institutions internationales politiques et financières ? L’ampleur de cette crise économique, qui aurait dû efficacement, être pris en charge, vient d’un déséquilibre des valeurs de l’argent, substitué à notre bonheur individuel.  

Jadis, sans réelle conscience il est vrai, les traditions ancestrales et les rituels guidaient de manière dogmatique, la morale collective de nos sociétés. Mais il existait, dans les lignées familiales, et au regard des générations passées, une écoute en lien au respect du temps, et de l’expérience. Enfants, nous écoutions les grands-pères et les grands-mères qui par un rôle de complicité et d’écoute, envers les jeunes générations, soutenaient l’éducation parentale, et familiale.

Dans le parcours de cette évolution, un désir d’expansion individuel a amorcé la mutation profonde de l’homme, appelée à la responsabilité de son propre positionnement. A ce jour, nous observons les conséquences psychologiques, de l’accélération du temps, d’une quête de savoir, qui ont tout envahit par cette perte d’ordonnancement.

« Aujourd’hui, on ne respecte plus le rythme des enfants. Les hommes et les femmes meurent sans chercher à donner sens à leur existence et à ce passage d’un état de l’être, à un autre », selon Jean Cuisenier, chercheur au CNRS.    

Au siècle dernier, encore inconscient des conséquences socio-économiques, la culture scolaire et pédagogique, nous a conventionnellement rendu solidaire, pour remettre notre responsabilité, et notre pouvoir individuel. Lesquels ont piégé subjectivement notre autonomie, quelques années plus tard. En retour, le système de nos sociétés devenues plus mercantiles, exploite nos ambitions et notre ignorance. La culture humaine de ces sociétés ambitieuses, a changé les règles et les protocoles, en bousculant sans respect, ni considération, les rythmes de notre existence individuelle. La surproduction et l’exploitation de tous les marchés, sont à l’ordre du jour, quant à ces firmes, elles continuent de mobiliser notre institution. Cette crise mondiale, n’est pas simplement politique, économique et financière, mais la conséquence d’une rupture d’un ordre généralisé.

Souvent en violation à notre vie privée, cette participation impliquante, a généré l’élitisme, en dévalorisant insidieusement, l’image de l’Estime de Soi.

Pouvons-nous vivre en concordance, dans une civilisation entièrement construite, autour des désirs et de l’Avoir ? En demeurant non-voyant, sur les signes précurseurs et destructeurs de la planète ? Sommes-nous aujourd‘hui sincèrement, en analogie avec ce monde extérieur ?

Si non, pourquoi l’axe de notre personnalité, emportée par ces ambitions humaines, contraire à nos aspirations, et au préjudice de notre vie intérieure, s’est-elle projetée si aveuglément, et sans anticipation, au service d’une communauté maintenant désunie, devenue notre seule référence ?

Une réflexion profonde s’impose… Quelle idée avons-nous, du progrès ? Et, du bonheur ? « Pourquoi, suis-je toujours, à commenter sur mon passé ? Ou à la poursuite, d’un idéal hypothétique !? Pour quelle raison, ne suis-je pas tout simplement ravi, et heureux d’être ici, et maintenant !? ».    

Nous pourrions continuer en vain, toutes ces formulations sur l’existence, si souvent habitées par des critères de succès, d’échec ou de richesse… Cependant, beaucoup moins dans le souci, d’Être heureux intérieurement…

Nous savons que tout désir de possession est par nature, insatiable.  Néanmoins pouvons-nous vivre sans rien avoir ? L’homme, cherche sans mesure, à posséder toutes choses, pour finalement être possédées par elles.

L’argent et l’acquisition de biens matériels, ne sont que des moyens, certes précieux, mais ils ne sont pas, une fin en soi. Témoin de ce désordre climatique croissant, la mutation énergétique de notre globe terrestre, subit le mouvement de ces transits planétaires, jusqu’à faire remonter également, en notre propre existence, des tsunamis émotionnels.


Un iceberg à la dérive

Dans cette réflexion, sur l’art de la transformation, il est évidemment hors sujet, de revenir sur le passé et notre création humaine, par quelque rébellion, d’aller à l’encontre de notre condition, ou encore chercher les coupables et les ignorants. Les responsabilités de ces choix, retombent dans la continuité du régime de notre civilisation, quelque peu régressive… L’actualité de cette réflexion, réside dans les profondeurs de soi. Face à sa singulière existence, le manque de reconnaissance, conduit l’homme, à la recherche de sa véritable identité. Poussé par quelques confusions de la vie, l’humain, se pose parfois les bonnes questions… « Pour quelle raison, je vis cette situation ? Qu’en est-il de mes actions ? Que dois-je faire maintenant ? ».

Depuis la nuit des temps, l’univers fonctionne selon des lois naturelles, que les scientifiques en partie, commencent à reconnaitre. La confusion de cet immense chaos humanitaire, nous est expliquée dans la configuration astrologique, de notre système solaire. Notre civilisation, doit sortir de l’état d’ignorance, de ses pressions psychologiques, et, se libérer de ses mémoires d’esclavage, afin d’éveiller en soi, cette conscience individuelle. L’homme est aujourd’hui appelé, à la recherche d’une identité propre, philosophique et spirituelle !

Lorsque l’on doit affronter, les grandes mutations de l’existence, quel que soit la classe sociale, un processus individuel de désidentification, est éprouvé professionnellement, et socialement. Parfois obligatoires et ardues, désirées ou non, ces conversions touchent en soi, et le plus souvent, l’appartenance à un terroir, à une famille, à une race, ou, une religion propre, ou bien encore, lorsque nous changeons de culture, et de pays. Cependant dépassé par les évènements en l’actualité, il est parfois difficile, d’ouvrir un rayon de conscience. Nos cultures éducatives et traditionnelles, perdent leur référence et sont conduites par l’aggravation morale et psychologique du déracinement.  

Certes, il faut un temps pour digérer, et un autre pour accepter la situation. Cependant, combien de temps encore faut-il, pour arrêter ces commisérations stériles sur soi, qui n’apporteront aucune solution, ni quiétude en l’actualité des choses ? Un état d’esprit sédentaire, bâtit autour de ses habitudes et de sa culture éducative, est appelé tôt ou tard, à s’adapter à ces inévitables mutations. Il faut s’ouvrir au monde, pratiquer quelques disciplines corporelles, de relaxation ; afin d’évacuer et de relâcher les tensions du corps, puis de l’esprit. Cela signifie, ouvrir l’écoute en soi, sans préjugement ou principe occulte qui servirait à fuir devant toute nouvelle action.

L’écoute s’adresse aussi, envers celui ou celle, qui partage sa vie, et ses problèmes avec nous. La réactualisation des ressources de l’être, aideront à se libérer de ses conditionnements. Bien que cela relève, de la construction de la personnalité, une sérieuse prise de conscience, est à reconsidérer, pour délocaliser une situation achevée, ligotée au passé, et sans espoir, quant à l’avenir. 

Si nous nous interrogeons en conscience, sur ces pas-sages rencontrés, de même imposées par l’existence, nous accepterions de saisir, au-delà de toute réalité connue, l’appel de notre intelligence de vie, ou de survie.

Devant de nouvelles possibilités, ces changements abordées, peuvent être salutaires. Ils permettent de rebondir et de puiser en nous, de véritables opportunités que la vie nous offre. Toute gratitude, portée à soi-même en priorité, est la clé, pour que notre conscience individuelle accède naturellement, à l’idée du partage, et de « l’Estime de Soi » … ou « Amour de Soi ». Elle-seule, ouvre l’expérience des transformations, en respect au processus de la vie.

Cette expérience pour l’homme, commence dès la naissance ! Naître à l’existence, signifie pour un nouveau-né, entrer en interdépendance au monde extérieur. Lequel va fortement influencer son psychisme, et son évolution, sans aucun pouvoir, quant à l’avenir… Où ? Par quel moyen… Principe… Croyance… Ou limite ? On ne sait pas comment, cet enfant encore immature, posera les actes, qui témoigneront de son expérience ! Ce petit être qui grandit, construit ses fondements, au travers d’un égo, identifié à sa vérité. Et, toute vérité de base, repose sur sa dualité.

Au moment de la naissance, le nouveau-né a l’obligation de sortir de sa chrysalide. Ce moment extraordinaire est nommé, « traumatisme de la naissance ». A son arrivée en terre inconnue, à la sortie du ventre maternel, le nourrisson est retiré brutalement, de sa béatitude matricielle, par la séparation avec ce Soi profond. L’enfant traverse là, « son premier châtiment d’abandon » avant de recevoir tout autre précepte. Afin d’entrer dans le monde de l’expérience, la nouvelle terre substituée, à la matrice précédente, va condamner ce nouveau-né, à s’ouvrir vers l’inconnu. Et, à défusionner de sa mère, pour découvrir, les fondements indépendants et psychologiques, qui apporteront les réactions logiques à son équilibre, toutefois sans avoir conscience, des schémas d’identifications émotionnelles et générationnelles.

La construction de l’Estime de soi, prend ses racines dès la petite enfance. Le père et la mère représentent la clé de compréhension, dans le développement de l’Estime de soi. Cette expérience est à la base, de la construction de la personnalité. A notre venue au monde, que nous nous interrogions ou non, sur notre incarnation, ce reflet métaphysique de l’existence, a commencé dans la vie intra-utérine, et ainsi, a déjà pris acte en nous.

Dès l’origine de l’homme, selon C.G.Yung, notre inconscient renferme le symbole de 2 principes universels, qui dessinent en soi, les images des pôles masculin et féminin.

Ces archétypes agréés à tout être humain, sont reliés au mythe de l’androgyne. Selon Platon, c’est le double sens symbolique de l’être. Cela signifie que l’âme est androgyne, elle prend corps, devient masculine ou féminine, en passant nécessairement, par des cycles successifs de mort, et de re-naissance, d’une existence à l’autre, tant que la conscience, au monde manifesté, ne s’est pas libérée du voile de sa propre dualité. Cela invite certains universitaires, à s’ouvrir, à l’éventuelle théorie philosophique de la réincarnation.

C’est aussi la raison pour laquelle : 

- Chaque homme, en plus de son animus, dispose de son anima (son modèle féminin).      - Chaque femme, en plus de son anima, dispose de son animus (son modèle masculin).

L’égo apprend, de ces principes d’identification, en faisant face, à ses expériences qui constituent sa vérité. Toute reconnaissance vient en priorité, du respect en conscience, que nous nous livrons à nous-mêmes. Les projections rencontrées au cours de notre existence, sont donc inévitables, puisqu’elles reflètent avec authenticité, les empreintes générationnelles, qui serviront la formation de la personnalité. Ce défi à l’Estime de soi, engendre le désir de connaissance, par la recherche du lien qui s’opère entre notre égo, et ce Soi divin. 

L’homme est né, avec la mémoire de cette fusion matricielle, qui le conduit à faire l’expérience de la dualité. D’abord visible, extérieure, puis interne, et ressenti au fond de lui. Viennent alors, les interrogations métaphysiques… "Qui suis-je ? … Est-ce que je m’estime assez, pour oser prendre ma place, parmi les autres ? Comment puis-je en savoir davantage sur moi, et sur ce Soi ? Comment puis-je savoir, si je rêve ou si j’existe réellement ? Qu’en est-il de la mort ? ". Se poser ces questions si existentielles, évoque, l’idée d’un autre espace-temps, voire d’éternité.   

En explorant les identifications qui collent à notre égo, notamment celles des somatisations sur le corps physique, nous comprenons davantage, les mécanismes psychologiques et émotionnelles, aux fins éventuelles de guérir. Dans sa quête d’évolution, l’homme est contraint de collaborer, au processus de désidentification de la matière, pour se diriger vers l’esprit, lequel pourrait devenir sa future exploitation...

Notre société nous apprend à reconnaitre principalement, le monde matérialiste et tangible, dans lequel nous vivons. La science matérialiste, est en grande partie persuadée du caractère définitif de la mort, (notre monde occidental en fait partie), laquelle nie l’immortalité de la conscience. Cependant, l’accès à d’autres réalités, par le récit de nos rêves en images, peut être vécu émotionnellement, de façon onirique, mais pour l’instant, il est vrai, cela ne constitue pas, une preuve pour les scientifiques.

Néanmoins, le songe est une forme de conscience, qui peut conduire vers d'autres réalités. Sans le savoir, ces Rêves investissent nos nuits, durant toute l’existence.

 


Le cerveau vu de haut

Dans une série d’expériences, Michel Jouvet, professeur de la Faculté de médecine de Lyon, a identifié dans le cerveau d’un félin, l’emplacement d’un petit noyau, « le nucleus » reliant les deux cerveaux droit et gauche, semblable à l’homme. Après avoir implanté, dans le cerveau du chat, deux électrodes, et, envoyer un courant électrique, pour empêcher l’animal de rêver. Le félin était alors, sujet à des hallucinations. Le 4ème jour : la pupille était dilatée, et, de sa patte, il essayait d’attraper un objet imaginaire. Au bout de quelques semaines, ces hallucinations se sont aggravées chez l’animal, avec une perte d’équilibre, et de notion de la réalité… Cette expérience pourrait être analogue, à l’homme à qui, on empêcherait de rêver. Comme boire, manger, dormir, et rêver… Rêver est donc vital !

 

Encore inconnu au fond de nous, le rêve représente la partie inconsciente et immergée de l'iceberg, perçue par la psyché. Entrer en l'exploration de l’inconscient, peut nous emmener vers une riche introspection. La planète pluton, liée symboliquement à la psychanalyse, a été découverte lorsque Sigmund Freud, est né pour imposer l’idée, que le rêve constituait une sorte de miroir occultant nos désirs inavouables, faits de pulsions censurés, et sexuelles. Aujourd’hui, au XXI e siècle, une riche perspective d’analyses, s’emploie à mieux explorer l’inconscient, et ses zones d’ombre. L’humain est encore sans conscience. Il est un enfant insatiable en quête de nouvelles découvertes et, en recherche d’expériences sur l’univers.  

 

La citation de Rabelais, “Science, sans conscience, n’est que ruine de l’âme” ; inaugure encore aujourd’hui, les lacunes de la science qui ouvrent des prérogatives sur les dangereuses et inconséquentes médecines du futur.  

 

Les prévisions essentielles en 2023, sur les prochains accords électroniques et nouvelles transactions bancaires, doivent générer la disparition de l’argent liquide. Le transit de la planète pluton en verseau, représente la naissance de technologies moléculaires, qui porteront de nouvelles semences à la science. Laquelle ouvrira notre civilisation, à une nouvelle conception et renaissance de l’identité humaine, à travers le développement de la robotisation et de son intégration, d’un point de vue psychologique. Cette longue période ouvrira la conscience, sur les bonnes et mauvaises expériences de l’homme, désirant jouer aux apprenti-sorciers. Cette planète incarnera la lame de fond nécessaire, qui puisera dans les abimes de l’être, une nouvelle conscience de la vie. 

 

Aujourd’hui, davantage de malades, sont préoccupées par le sens de leur maladie, et s’interrogent sur leur souffrance… L’organisme s’exprime dans les symptômes de mal-être. Ces choses négatives, que nous révèle le corps, ont un lien direct, avec le monde émotionnel. Des guérisons de maladies incurables, existent partout dans le monde. Elles sont notamment reconnues à Lourdes, par le comité international, l’église et le corps médical. (En 2016, une petite fille de 6 ans, déclarée sourde, est repartie de Lourdes en entendant parfaitement).   

La science n’a pas réussi à donner des explications concluantes sur ces phénomènes de guérisons miraculeuses. Selon le docteur P.Theillier, (ex président du bureau médical de Lourdes), d’après le recueil des récits « une force extérieure reçu par le corps physique entre en action, pour provoquer la guérison. Cette force reçue, se déploie dans l’organisme, et, dans chaque cellule du corps, elle a lieu de façon instantanée. Ceci n’est absolument pas explicable, par la médecine ».

Le monde scientifique, certifie aujourd’hui, que la vie est faite de matière brute, composée d’une masse de protons, d’électrons et de photons. Toutefois, ces vérités provisoires proposées, sont sans autres issues, et nous enchainent à des concepts entièrement matérialistes, à en perdre le sens de la vie. A l’observation de ces atomes à travers un microscope, nous pouvons voir le vide, car les atomes n’ont pas de structure physique, ces atomes sont faits d’énergie invisible et non de réalité tangible. Si nous voulons mieux comprendre, la nature profonde et sensible de la matière dans sa dualité, nous ne pouvons pas examiner qu’un seul aspect. Cette matière est une réalité, d’apparence fractale… Le fait est, qu’en majeure partie, la trame non visible de cette matière « soit composée par la projection, de ces atomes d’esprit (dont fait partie la conscience) ».

 

Cette force invisible, est semblable aux influences magnétiques de la lune, qui agit sur les reflux des océans, de notre globe terrestre, à échelle proportionnelle. Cette exploration de l’esprit humain, nous conduit à pénétrer plus intimement, dans le fonctionnement de l’axe central du cerveau, doté de ses deux hémisphères cérébraux, lesquelles en fait, ne réalisent pas la même opération. L’un, est relié à la réalité extérieure, l’autre à la part subjective du monde intérieur. Les deux cerveaux sont reliés et communiquent entre eux, par des fibres nerveuses que sont le corps calleux et les commissures. Ces deux hémisphères œuvrent ensembles, et se subdivisent en 4 parties externes, appelées lobes : frontal, pariétal, temporal et occipital. 

Le cerveau droit est lié à l’univers intérieur. Il évoque l’Anima, la partie féminine de l’être et de la mémoire intuitive. Cette sensibilité, détermine l’imperceptible, les expériences instinctives du cerveau reptilien, et de ses mécanismes émotionnels. L’hémisphère droit, ne conçois pas les concepts logiques. Son langage est l’écoute, au-delà des mots, ouvert à l’imaginaire, au rêve, à la poésie et la création artistique. C’est l’expression du monde onirique et de ses symboles évocateurs. L’hémisphère droit communique avec les esprits de la nature. Sa qualité a pour but, d'adapter ce qui est subjectif, et de relier le conscient à l'inconscient.


Les 2 cerveaux

Le cerveau gauche représente l’Animus. Il évoque la part active et masculine, qui est définie par l’espace et le temps. Il représente le fonctionnement de la pensée rationnelle et la réalité objective existentielle. Cette partie gauche est unie au fondement, à la communication, l’adaptation et à la logique ; les concepts et l’éducation reçus ici, subsistent en interaction. Les 5 sens du corps, identifiés par le gout, le toucher, l’odorat, la vue, et l’ouïe, nous permettent de connaitre les réalités extérieures. Ils élaborent des calculs précis et des théories, qui aident à progresser vers une solution.

L’analyse, les structures, le savoir pédagogique et la communication reposent sur l’hémisphère gauche qui réalise le rôle de filtre, et de censure par les principes et la morale, imposés au préjudice des réalités subjectives, du créatif et du rêve (hémisphère droit). Cet hémisphère s’affranchit du divin, par la logique et la raison, il impose souvent, le silence au cerveau droit. On constate aussi, la dominance culturelle de l’instruction imposée en grande majorité, chez les droitiers (l’hémisphère gauche).

L’action intérieure et extérieure, de ces 2 informateurs indépendants, envoient l’expérience vécue au cerveau central. Puis semblable au chef d’orchestre, l’axe central exécutera, une synthèse de l’expérience recueillie. L’interprétation sera réalisée, selon les principes ou règles établies, par le cerveau central. Si l’un des 2 hémisphères, est trop dominant, le cerveau central donnera une version partiale de la réalité.  

Des tests récents ont montré que les femmes utilisent assez souvent les deux hémisphères dans les actes de parole, là où la grande majorité des hommes n’utilise que l’hémisphère gauche. Néanmoins, les valeurs représentatives communes à notre civilisation, et sur laquelle notre humanité, s’est démesurément appuyée, se trouve être toujours ; l’hémisphère gauche (cerveau déductif), qui représente l’Avoir, le Paraître, au détriment de l’Être (le cerveau droit subjectif).  

Comme l’explique Lucien Israël. En s’édifiant sur le cerveau gauche, les mutations de notre civilisation du siècle dernier, ont apporté une prodigieuse évolution qui a transformé la vision collective de l’humanité.

Le déploiement de l’ère industrielle et les dernières technologies ont favorisé le monde de la communication, mais sans conscience posée, au regard des impératifs de survie de la planète. L’auteur pense qu’il n’y a pas de hasard, si nous découvrons présentement les facultés oubliées du cerveau droit, et que le développement idéal serait les aptitudes de nos deux cerveaux.

Le grand retour de l’hémisphère droit cherche à unir quelques explications plus (holistique) et collectives du monde. L’actualité est à l’approche des maladies mentales, la schizophrénie est plus normalisée. Le génie pourrait être marqué par une hyper communication entre les deux hémisphères. La schizophrénie apparaît sous un jour nouveau : deux hémisphères, deux personnalités indépendantes se développent à l’intérieur d’un seul être qui, peut en perdre le sens de la réalité.

Si le corps ne représente qu'un "véhicule"...

 

D’où vient la conscience humaine ? Et quelle est son origine ? Est-ce simplement la création du cerveau, ou lui-même est-il un observatoire de la conscience ? Si la conscience n’est pas un produit du cerveau, cela signifie qu’elle existe en dehors de notre corps.

La conscience et la relation au corps humain, interpellent de plus en plus notre esprit. La physique quantique gagne en réputation, dans ces sujets traités.

Max Planck, physicien reconnu de la théorie quantique, (prix Nobel de physique en 1918) offre la meilleure explication sur les préceptes de la conscience : 

Des jugements encore trop enracinés issus de notre culture collective, ou de notre éducation, nous conduisent par automatisme, à entretenir des pensées négatives. Les émotions qui en dérivent sont source de blocage et de souffrance répétitive. Notre identité individuelle doit reconsidérer en conscience, ses liens avec le corps et, avec la respiration, afin d’ouvrir l’attention sur les mots, les actions et réactions qui habitent notre quotidien et notre vie. Des thérapies sur l’éveil d’une nouvelle génération, comme le yoga, la rénovation cellulaire, la respiration, la méditation, le massage et la relaxation psychocorporel, sont à aborder sérieusement, quant aux surprenantes influences de la pensée sur le corps.

 

Les pensées centrées en permanence, sur des conséquences négatives quant à l’avenir, appellent la peur face à toute éventuelle renaissance. Ce futur non encore déterminé, est soumis à l’improvisation du corps devenu l’esprit inconscient. Ce processus est organisé par un cerveau fidèle au programme de ses pensées négatives ou positives. Les « neurotransmetteurs » de notre cerveau sont actifs en notre sphère énergétique, et répercutent inévitablement dans le corps émotionnel et mental, un état de panique devant tout changement qui pourrait se présenter.

Toutes ces sources d’informations, nous renvoient au positionnement de notre conscience individuelle, à l’Estime de Soi et l’Amour de soi.

Le conditionnement de nos pensées, en l’espoir, ou encore en ses ruminations, génère une programmation de l’esprit qui vagabonde en permanence. Le corps devient le fruit imaginé par un raisonnement identifié à la pensée, et ses dépendances. Le bavardage cérébral, mène l’esprit à errer mentalement, en ses inquiétudes. Ces sensations négatives, créent des projections qui conditionnent le corps et l’esprit. Afin de préserver la santé de notre corps, la répétition de ces manifestations est à déprogrammer d’urgence.

Toute matière subit la loi de l’esprit qui l’habite ! Notre structure céleste et mentale vit en interdépendance avec notre mécanique terrestre. Chaque organe du corps est le miroir d’une fonction psychologique. En fait, le moment présent seul devrait exister, et lui seul, peut remédier à toutes nos blessures. Ces instants de recueillement au quotidien, nous aideront à dépasser ces peurs irrationnelles.  

 

 

« La doctrine matérialiste est erronée, il est temps de reconnaître les pouvoirs de la conscience » …

Explique le Dr Mario Beauregard, neuroscientifique canadien. Ce médecin s’appuie sur des découvertes en physique quantique. « Dans la réalité quantique, notre esprit peut agir au-delà des limites de notre corps, sans contrainte d'espace, ni de temps ». « Les expériences de mort imminente, la communication avec les défunts, ou encore les états modifiés de conscience, nous révèlent les capacités insoupçonnées qui sommeillent en nous. Les recherches ont démontré que les électrons existent comme une infinité de possibilités, ou de probabilités dans un champ invisible d’énergie ». Le parcours de ce médecin, présente un constat de la réalité, qui devrait nous guider, à la prochaine révolution scientifique. Ce chercheur bouleverse les anciennes théories. Il démontre que l’influence de nos croyances, de nos pensées, de nos émotions, se répand sur nos gènes, sur notre santé et contribue à la vision obscure de la vie et de notre société.

L’approche scientifique de l’après mort se trouve démunie faute d’expériences concluantes. Il y a certes l'Expérience de Mort Imminente et quelques témoignages de rencontres avec l’au-delà. Cela ne suffit pas pour l’initié, qui doit découvrir l’expérience au-delà de la dualité et de la foi, seul face à ses croyances. La physique quantique permet de dédoubler la réalité. Ce type de réflexion dépasse de loin la question de la mort car elle concerne aussi la compréhension de la conscience et la pensée. 

Au moment précis de la transition, il est remarqué que les derniers moments de l’activité du cerveau, entreraient en ébullition. L’esprit serait dans un état d’hyper-conscience sur les étapes essentielles, qui ont marquées son existence, et lesquelles n’auraient pas été résolues. Tout revient en notre mémoire, en un instant. En s’ouvrant au concept de l’après-vie, la création d’un rituel, encadrée par des accompagnateurs éclairés, peut aider à reconsidérer l’état de transition. Afin d’aider les personnes averties et, condamnées par leur maladie incurable, cette préparation ritualisée avant le Grand Passage, d'un état de conscience à l’autre rive, pourrait être posé avec un caractère officiel qui serait d’un grand secours pour désamorcer la peur et lever le concept, de la vie après la mort.

La question de l’après mort, est abordée depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours dans le traité tibétain, le livre des morts égyptien, et relevée en un grand nombre d’écrits théologiques ou ésotériques et dans les textes de Platon. Certaines expériences de mort imminente, laissent entrevoir le cheminement de l’âme après la décorporation.  

L’humain porte en lui, les graines de tous ses désirs, et de ses ambitions. L’homme vient au monde, pour découvrir en lui, ce qu’il renferme. En cela, nous sommes tous nés égaux. Ce droit à la vie, donne à chacun le choix d’utiliser ou non, l’intelligence de l’esprit. Chaque être en soi, est un créateur, qui enfante sa réalité. Nous récoltons continuellement, ce que nous avons semé. Toutes actions et réactions sont les offrandes, qui conduisent vers la conscience et le libre arbitre. Elles font partie de la loi d’Amour et de la création. Si au fond de nous, en l’instant, ce changement est décidé avec conviction, le flux conscient de nos pensées sera réorienté, par l’expérience de l’inspire et de l’expire… Cette assiduité journalière pour la vie, est impérative le matin ou le soir. Ne serait-ce que quelques minutes par jour...

 

Dès votre réveil, assis ou allongé dans votre lit, les yeux clos, la programmation de ce souffle en conscience, fera cesser toutes ruminations négatives. La magie de notre esprit, peut conduire la destinée de ces précieux instants. Notre authenticité orientera les pensées vers tous les possibles ou bien encore, vers toutes formes de Guérison. Un nouveau souffle réunificateur du sens de notre vie, nous amènera à découvrir une conscience un peu plus qu’humaine, qui nous invite à quitter l’ancien, sans reniement ni regret, à pardonner et à se pardonner. Savoir observer avec recul, le théâtre de la vie, et les mises en scène de notre ego, fait partie de cet Art de la transformation. De toute évidence, nous sommes tous et chacun, les créateurs de notre histoire.

 

Jamaël Claudio SCIORTINO

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